« Nous avons notre mot à dire » : réparer les relations rompues avec les personnes autochtones
Par MegAnne Liebsch Rosella Kinoshameg a grandi sur l’île Manitoulin, en Ontario. Petite, elle ne comprenait rien à la messe catholique à laquelle elle assistait le dimanche. C’était avant Vatican II et le prêtre disait la messe en latin, le dos tourné à l’assemblée. Les lectures et les chants étaient en anglais, et non en ojibwé, …